Une performance solide pour le 1er trimestre 2020 malgré l’impact à venir du COVID-19 et la chute des prix du pétrole

Photo: Borealis CEO Alfred Stern
Photo: © Borealis
- Rentabilité T1 inférieure en comparaison avec 2019, s’expliquant principalement par la baisse des marges du résultat de Borouge en raison de la faiblesse des conditions du marché asiatique.
- Les polyoléfines novatrices de Borealis connaissent toujours une demande solide dans de nombreux secteurs de marché
- Lancement d’un programme de résilience visant à consolider notre position financière face à des perspectives de marché incertaines à échelle internationale
- La pandémie du coronavirus et la chute des prix du pétrole pourraient voir leur impact s’aggraver dans les mois à venir
Chiffres clés et ratios | T1 2020 | T1 2019 | T4 2019 | CUMUL ANNUEL 2019 | |
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Ventes nettes | millions EUR | 1 963 | 2 143 | 1 858 | 8 103 |
Ventes totales* | millions EUR | 2 309 | 2 543 | 2 246 | 9 768 |
Bénéfice net | millions EUR | 151 | 200 | 138 | 872 |
Réduction/(augmentation) de la dette portant intérêt nette | millions EUR | (116) | (429) | (212) | (241) |
Ratio capitaux empruntés | % | 26% | 28% | 24% |
*Chiffre d’affaires net plus les ventes au prorata des sociétés consolidées à capitaux propres
Borealis annonce un bénéfice net de 151 millions d’euros pour le premier trimestre 2020, comparativement aux 200 millions d’euros obtenus pour le même trimestre en 2019. La contribution de Borouge pour le premier trimestre 2020 s’est, elle, dégradée comparativement aux résultats obtenus en 2019 pour la même période, et les prix déjà bas des polyoléfines en Asie ont également souffert de la pandémie de coronavirus et de la chute des prix du pétrole. Cette baisse de profits, en comparaison avec le premier trimestre 2019, est également en grande partie due aux résultats plus bas des polyoléfines intégrées en Europe. Dans le même temps, la contribution apportée par le secteur des engrais s’est améliorée par rapport au premier trimestre 2019 grâce à une augmentation du volume des ventes et des prix du pétrole bas.
Pour le premier trimestre 2020, la dette nette a augmenté de 116 millions d’euros et s’explique notamment par le paiement de 300 millions d’euros de dividendes finaux pour l’année 2019 aux actionnaires de Borealis. La rentrée de fonds faisant suite aux résultats de l’entreprise et aux dividendes de Borouge a permis à Borealis de conserver une position financière forte, avec un ratio des capitaux empruntés de 26 % à la fin du premier trimestre 2020.
Bilan et perspectives
« Vers la fin du premier trimestre 2020, le secteur des polyoléfines en Europe a commencé à ressentir les effets conjugués de la pandémie du COVID-19 et de la baisse des prix du pétrole. Pour le deuxième trimestre, nous prévoyons une conjoncture difficile du fait des conséquences négatives continues tant du COVID-19 que des prix exceptionnellement bas du pétrole », commente Alfred Stern, PDG de Borealis. « Dans le même temps, la demande reste solide dans de nombreux segments de marché. La crise actuelle démontre le rôle essentiel de nos produits, et ce, tant pour les nombreux secteurs de l’industrie que pour notre santé et notre sécurité. Pour l’instant, tous nos sites de production et entrepôts européens maintiennent leurs activités afin d’assurer la continuité des livraisons de ces produits. »
« Pour maintenir durablement notre solide position financière en dépit des perspectives incertaines de l’économie mondiale à moyen terme, Borealis a lancé un programme de résilience s’attachant à réduire les coûts et les investissements, et à prendre appui sur les initiatives préexistantes. Borealis est bien positionné pour demeurer un partenaire fort pour nos clients et toutes les autres parties prenantes pendant cette période exceptionnellement difficile. »
FIN
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